a l’aide..
NuageCourageux14
elle/il
bonjour je vais vous expliquer..
enft j’ai vécu un traumatique à 13 ans.. j’ai sauver quel qun du suicide, je le suivais partout h24 j’en étais obseder vraiment..
j’ai commencer a avoir des idée noir et avoir des épisodes d’auto-mutilation
et presque au même moment mon premier amour es arriver, c’était incroyable.
mais 1 mois plus tard ça a commencer à être compliqué et en 2021 pis es partie dans une autre ville je l’aimais inconsciemment mais il ne voulais plus de moi, j’ai recommencer à avoir des épisodes dautomutilation et des i-n.
par la suite j’ai enchainé les relation amoureuse pour me sentir comler et aimer et sutout le retrouver dans quel qun..
mais je finissais toujours parler de lui alors ça marchais pas, j’étais pas prêt mais je voulais comblé ce vide en moi..
ensuite j’ai perdu ma petite sœur, et mon petit frr que j’aimais plus que tt au monde..
et part la suite ma meilleure amie.
je me sentais tellement mal dans ma peau, que j’ai penser être transgenre alors j’ai changer de prénom dans la vie courante (non civil) pis 1 ans plus tard j’ai recharger de prénom car j’avais vécu d’autre chose avk ce nouveau prénom donc j’ai encore changer et ça a continué comme ça , au totalement depuis 2021 j’ai changer 6 fois de prénom.. (je sais c’est abusé) c pas tte le monde qui va comprendre évidemment.. et donc j’ai passer aussi par je pense que je suis *genderfluide* *trans* *fem-cis* *non-binaire* e.c.t qui allais avec mon prénom mais récemment j’ai compris que j’ai changais de prénom quand je me sentais mal, quand c’était trop pour la.le petit.e moi..
cest vraiment difficile à gérer, ma famille commence à se fâcher contre moi car il ne comprenne pas et veulent recommencer à m’appeler par mon dead name maintenant..
je ne sais plus comment gérer cela c vraiment difficile pour moi j’ai envie de partir, par moment aider moi pitier..
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ZombaJudicieux5
elle/elle·15 ans
5hl’attachement qui blesseplusieurs parle de l’attachement en couple et des peines d’amour qui sont douloureuses mais parlons aussi des attachements envers les profs certains vont dire que c’est bizarre de s’attacher à un prof, mais lorsque tu n’as pas eu d’écoute et que tu n’as pas de figure paternelle présente dison que c’est douloureux. je m’explique tu passe un an avec la présence d’un prof qui t’a apporter son aide et qui a même organiser son horaire pour placer des rencontre avec moi pour m’aider avec mon anxiété de performance et à savoir que c’est lui qui a remarquer et qui m’a proposer de l’aide et moi qui a accepter plus tard de prendre son aide en considération après tout les suivis que j’ai déjà eu c’est l’adulte qui m’a réellement apporter de l’aide et donner des conseils justes. puis il était un prof extraordinaire hyper drôle divertissant et intéressant en classe dans sa façon d’enseigner bref incroyable. juste en entrant dans la classe tu allais déjà mieux et le sourire était revenue. à la fin de l’année j’apprends qu’il quitte notre école l’année suivante il m’aidait pourtant avec ma confiance en moi et la je me suis sentie abandonné et vraiment encore aujourd’hui c’est dur pour moi de pas y repenser quand je vais en science je pense juste à l’apnée passée les cours incroyables bref voilà il est revenu déjà à l’école faire des tours et à chaque fois je finis en crise de paniques je ne sais plus quoi faire quelqu’un a déjà vécu ça et c’était quoi vos trucs pour décrocher , car j’ai encore contact avec lui mais c’est dur de s’organiser une rencontre à mon école vu les horaire et les écoles différentes bref voilà merci d’avance désolée si c’est long.
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EucalyptusJudicieux5
elle/elle
10hEst-ce que c'est normal?Bonjour, donc comme vous le savez, je suis chinoise d'origine. Dans la culture chinoise, il y a la "hiérarchie familiale" qui présume que les grands-parents sont au-dessus des parents qui sont au-dessus des enfants.
Cependant, il y a un hic. Mes parents ne croient pas en la passage d'adolescence (pas leurs mots, mais vous allez comprendre.) Par exemple, quand j'avais neuf ans ("Tu as déjà neuf ans, arrête de te comporter en bébé, tu dois aider dans la famille!") Écrit comme ça, ça ne semble pas si mal, mais laissez-moi expliquer.
Je suis - selon eux - une enfant gâtée qui veut tout pour elle-même, surtout quand je capote parfois parce que mes parents ne captent jamais le sarcasme et me crient dessus pour avoir été sarcastique, j'ai insulté personne je faisais des blagues et ils crient (un autre défaut, j'en ai parlé avec quelques amis chinois et ils sont tous d'accord avec moi que les parents ne comprennent pas le sarcasme) et quand je "suis juste sur mon ordinateur en train de ne pas aider à la maison".
Ce qu'ils veulent que je sois? Une adulte. Ouais. Ils veulent que je suis mature, ma mère me donne des conseils pour les relations amoureuses, qui pour moi ne servent à rien, j'ai des hyper bonnes notes à part en éducation physique et j'ai envie de finir mon éducation sans jamais "être sortie avec" personne. Ma mère veut que j'aide dans la maison qui peut paraître raisonnable mais aujourd'hui j'ai dit un mauvais mot et elle m'a ordonné de laver la poêle (ben, le truc pour cuisiner, je ne sais pas comment le dire en français, en anglais c'est un "frying pan").
Mais je suis mineure.
Ce que mes parents veulent de moi quand je serais adulte : Bonne élève qui finit ses études à un bon université américain (pensez Harvard), vit avec ses parents (ils veulent assister à ma graduation!!), aie un bon travail bien payant, achète une maison et aie un mari et soit des enfants, soit des animaux de compagnie.
Ce que je veux : Économiser de l'argent (j'en ai un peu plus de 1000$ en ce moment (je ne vous dirais pas le montant exact, ça serait ridicule de mon point de vue), mais ils refusent que je dépasse ce montant), couper le pont avec mes parents, aller à McGill, finir mes études, vivre seule, ne jamais me marier avant d'avoir fini l'université (car tu ne sais pas où les autres vont être rendus si tu as des crushes au secondaire, au cégep ou même à l'université car ça ne veut pas dire qu'il réussira dans la vie) devenir écrivaine (j'ai déjà écrit une histoire en anglais de 100 pages l'année passée et je vais faire la préquelle de l'histoire ainsi que sa suite cette année. J'adore lire et écrire.
Mes parents m'ont déjà causé des traumatismes (je ne crois pas que ce soit aussi grave que le PTSD, juste des traumatismes normaux). Par exemple, la fois quand ma mère était fâchée contre moi, j'avais sept ans, et elle a dit qu'elle va me renvoyer en Chine. Ou la fois quand j'avais dit un mauvais mot en mandarin (ouais, je dis plusieurs mauvais mots, c'est une habitude que je dois améliorer) et mon père a dit que s'il m'entend encore dire ça il va m'expulser de la maison. Ou quand mon père, qui me n'a jamais frappée, avait justifié que parfois c'est acceptable de frapper les enfants. Ou ma mère qui a frappé mon chien (raison pourquoi je ne veux pas de chien, je trouve qu'ils sont hyper cute mais je ne veux pas qu'ils seraient comme ce que ma mère a fait au chien que j'ai en ce moment) parce qu'il a mordu le mur. Ou encore quand aujourd'hui, ma mère m'a dit "Si tu ne te comportes pas bien avec moi, je te donnerai la pire version de moi." Euh... je croyais que les enfants faisaient des parents leur modèles, pas le contraire? Et oui, c'est un sujet que j'ai abordé avec mes parents. Ils m'ont répliqué que quand ils étaient petits, ils ne faisaient pas nécessairement la même chose que moi, par exemple ils ne connaissaient pas français (Euh...?)
La pire chose ce sont les histoires que mes parents me racontent à propos de leurs propres parents et grands-parents. Là je commence à comprendre, c'est un cycle toxique d'abus. En fait, mes parents sont les moins stricts de tous mes oncles, tantes, et cousins qui ont déjà un/des enfant(s). Ils ne peuvent pas rompre le cycle car c'est tout ce qu'ils ont su avec leur grands-parents, parents, oncles, tantes, sœurs et cousins qu'ils avaient. J'ai trop peur d'avoir un enfant et de continuer le cycle. Ou d'avoir un animal de compagnie, d'ailleurs.
Quand j'en ai parlé à un ami Blanc québécois d'origine en sixième année il était très confus. Il m'a dit que ses parents se fichent totalement de ses notes et il joue aux jeux vidéo jusqu'à tard. J'ai trouvé comment allumer le flashlight dans mon téléphone et écrire jusqu'à tard dans mon cahier pas électronique, mais bon. Je ne sais pas ce qu'il veut dire par jusqu'à tard. Moi je me couche à 23h00 maximum... en sixième année c'était 21h30...
Est-ce que ç'a un lien avec la culture, dois-je accepter cela même si je déteste cela, et dois-je "en profiter" comme mes parents le disent?
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LoutreHumble7
elle/elle
1jJe sais plusCette année j`ai commencer le secondaire et je me suis fait un ami, faut savoir que j`ai déjà vécu un traumatisme. Cet ami avait des pensées noirs etc comme l`automutilation etc. Après mon traumatisme j`en ai pas vraiment parler. Mais puisque cet ami me parlait je lui j`ai commencer à moi aussi lui parler, mais depuis un bout c`est comme si je m`enfonce avec lui comme j`ai commencer à me mutiler et à avoir des pensées plus dark. Je ne sais pas si je dois lui dire ou????????????
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ArcodéonImaginative5
elle/elle·17 ans
1jse sentir seuleIl y a un mois, j’ai été diagnostiquée avec une maladie qui a complètement changé ma vie en tant qu’adolescente, c’est vraiment dur de vivre ça j’ai réalisé pendant mon hospitalisation que les gens pour qui j’ai toujours été là ne me considéraient pas autant que je les considérais c’est dans ces moments-là qu’on voit qui est réellement là pour nous, et ça fait mal. depuis ce diagnostic, ma vie est devenue compliquée je ne peux plus vivre comme avant je n’ai presque plus de vie sociale parce que je suis immunosupprimée. Sortir est devenu un risque constant, et ça me fait peur. Je me sens piégée, seule et complètement isolée et franchement, ce n’est pas facile à vivre je réalise aujourd’hui que la santé est vraiment la plus grande richesse qu’on puisse avoir
Réponses
TempêtePatient2
il/lui
Hey,
Ce que tu vis est lourd et compliqué, ça je peux le voir. C'est affreux et je crois que tu le sais mieux que moi. Alors même si ce n'est pas beaucoup, j'espère que je t'apporterai un peu de douceur.
D'abord pour tes amours, sache que tu mérites d'être aimé.e. Tu es dans une peine d'amour, la première et la plus intense. Ton coeur souffre alors tu essaie de le soigner avec l'amour des autres, te disant que tu te sentiras mieux. Et si ton coeur n'avaot pas besoin de ça ? De tous ces amours ? Et s'il avait simplement besoin de temps pour faire son deuil. Certes c'est long et douloureux, mais parfois on a besoin de chialer un bon coup avant de repartir non ? Alors repose-toi et prend soin de ce coeur avant de le redonner.
Ensuite ton identité de genre. Il se peut que tu sois dans la communauté trans, ça je dis pas, mais là ce ne sont peut-être pas les bonnes raisons. Entre ne pas s'aimer et une dysphorie de genre, il y a une différence qu'il est facile de ne pas voir. Tu ne semble pas aimer qui tu es, alors tu essaie d'inventer un nouvelle version de "toi" et à chaque fois tu ne t'aime toujours pas car au fond, peu importe ton genre ou ton prénom, tu es toujours la même personne. Je sais pertinemment que c'est assez dur ce que j'écris et je m'en excuse. Peut-être que tu devrais rester avec un nom et des pronoms (ceux que tu veux) et que tu apprennes ce que tu aimes faire, dans quoi tu as du talent, ce qui te touche émotionnellement, etc. S'apprendre à s'aimer est probablement le plus beau et le plus long amour. Tu es une personne qui mérite l'amour et le respect, même si ça doit provenir de toi.
Finalement, tes pensées sombres et tes mutilations. Je sais que ça ne sert a rien de le rappeller mais, tu es important.e. Il peut être difficile de gérer ces pensées quand elles sont trop insistantes. Si jamais tu sens que tu craques, appelle ce numéro 1.833.456.4566 (c'est un numéro pour que tu puisses avoir de l'aide). Pour ce qui est des mutilations, il est facile d'y être addict.e et cela peut être difficle de s'en sortir. Les personnes que j'ai connues qui faisait ça m'ont dit être capable d'arrêter grâce à un truc. Au lieu de prendre une lame, met un élastique à ton poignet et quand tu craques, tire-le sur ta peau. La mutilation n'est pas quelque chose que je souhaite mais je préfère te savoir avec un élastique. Il est important que tu parles de ce genre de choses avec des gens de confiance, même si c'est dur, il y a des personnes qui t'aime et qui veulent ton bonheur. Alors va chercher ces personnes-là et demande simplement de l'aide, c'est tout ce qu'elles attendent.
Désolé pour les paragraphes. Je sais que ce que j'écris peut être dur et difficile à faire, j'en suis conscient. La vie semble ne pas chérir certaines personnes, mais moi je crois réellement que tu t'en sortias. Moi je crois en un avenir où tu es heureux.se, je crois en le/la toi de maintenant. Au plaisir d'avoir pu t'aider si ce fût le cas.
ps: si jamais il y a quoi que ce soit, hésite pss à réécrire ou me corriger
-Tempête
ChatLoyal8
elle/elle·14 ans
Salut. Je ne peux pas imaginer a quel point ça doit être horrible pour toi. Comme @TempêtePatient2 (d’ailleurs, ton message était parfait), je pense que tu devrai essayer de faire ton deuil, de vivre ta peine d'amour avant de pouvoir à nouveau vivre de belles relations amoureuses. Évidemment, ce sera douloureux, mais après tu ira mieux, et je suis sure que tu trouveras quelqu'un que tu aimeras et qui t'aimeras en retour, comme tu le mérite. Pour ta petite sœur, ton petit frère et ta meilleure amie, je suis désolé. C'est sure que ça t'a fait beaucoup de peine, plus que je ne peux l'imaginer. Pour ta famille qui veux recommencer à t'appeler par ton deadname, elle fait sans doute ça car elle ne comprend pas ce qui t'arrive. Tu pourrais essayer de lui expliquer comment tu te sens, si tu ne l’a pas déjà fait. Pour l’automutilation, mon conseil est le même que TempêtePatient2, d’utiliser un élastique.
Courage, je crois en toi, tu n’a pas une vie facile, mais je suis certaine que tu va t’en sortir. J'espère que tu sera heureux·se parce que tu le mérite.
CamomilleTenace4
iel
Oh là là! Je suis vraiment désolé, pour tout ce qui t'arrive. Tempête t'as pas mal bien expliqué. J'espère vraiment que tu vas aller mieux. Courage!