Comment on appelle ça
LentilleSociable12
il/lui·19 ans
Je me défini pas vraiment comme un gars ni comme une fille mais je trouve ça inutile de faire un coming out puisque ça change pas grand chose à par le fait que je me fous un peu des pronoms qu'on utilisé pour me genrer y'a tu juste moi qui se sent comme ça?
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Liste de discussions
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AnethAttentif8
elle/elle·17 ans
1jMauvaise expérienceJ'ai déjà faites ma première fois et srx c'était affreux! Ø dé préliminaires, direct dans l'action. Le gars était pas attentif pis il en avait rien à faire de mon plaisir perso. Il a finis pis cho bye. Ça m'a juste donné une mauvaise expérience et mm si j'ai envie d'avoir des relations sexuelles j'ai peir que le prochain face la mm affaire.
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SoleilRéaliste16
il/lui·16 ans
3jje suis fier de vous :Dpour tout le monde qui a traversé cette semaine d'examens finaux, pour tous ceux qui ont survécu jusque là, bravo !! on est à un jour des temps des fêtes, vous pouvez finalement vous reposer :)
allez, on a le jour zéro de demain, puis quoi? le 20 décembre et c'est fini !! cette semaine n'est pas encore finie, on se donne le max pour demain et après demain, puis on est en vacances et vous pourrez finalement dormir
bon temps des fêtes tout le monde :D
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SushisAudacieuse3
elle/elle
3jJe bousille ma vision des relations ???Coucou !
Je suis une mordue de lecture !! J'adore lire et écrire un passe-temps étonnant pour les jeunes de mon âges. Je lit donc des livres un peu plus "mature" et "Dark" parce que ils sont plus long et intéressants.
Ça ma jamais trop déranger mais j'ai vue la vidéo d'une fille qui fait des études en psychologie qui explique l'importance de suivre l'âge de lecture d'un livre. Elle dit que certaine romance comportant du "toxic" présenter à un jeune public peuvent altéré leurs visions de ce que c'est être en relation et le respect mutuelle.
J'ai bien aimer sa vidéo asser bienveillante et là je me suis full remis en question...
Je suis parfaitement capable de reconnaître le toxique dans mes lectures et je ne le tolère pas. Mais quand même j'ai soudainement peur que certain truc que je visualise comme "normal" ne le son pas du tout !!
Je bousille ma vision de l'amour ??
Sushis
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VolleybalRassurante1
elle/elle·14 ans
3jJe ne sais pas quoi faireJ'ai une amie que je connais depuis environ 2 ans. Elle se mutile et elle as essayé de s'enlever la vie plusieurs fois avant et après s'être rencontré. La plus récente c'était au début de l'année (septembre ou octobre j'me souviens pas). Elle n'était pas venue à l'école pendant une semaine. Dans le passé, elle s'est fait frappée par sont père et a été agressée sexuellement à l'âge de huit ans. Je ne sais pas quoi faire. J'ai d'autres ami(e)s qui me font des confessions et ça commence à me peser sur le cœur et dans la tête à moi aussi. Je n'ai pas envie de leur dire, car je suis une des seules personnes sur qui ils peuvent compter. J'ai besoin d'aide.
Réponses
CamomilleRassurant4
elle/elle
Moi aussi!!!
Tu n'es pas le seul :)
Je ne me définis pas comme mon genre (je suis biologiquement fille) tout en acceptant bien mon sexe.
Je m'en fous de si je suis une fille, un gars ou autre. Si j'étais né gars, j'accepterais probablement très bien cette identité. Si un jour je voulais devenir, par exemple, un gars, ce serait purement pour le statut social, un bien matériel ou un facteur uniquement extérieur.
Mon identité interne est plutôt détaché de mon apparence; je ne vois pas comment à quoi a l'air mon corps fera en sorte que je ne suis plus moi, qu'il y aura drastiquement un changement au niveau fondamental du Moi.
Comme ce ne me dérange pas d'être fille ou gars, ce ne me dérange pas non plus qu'une autre personne choisisse de changer de genre. J'ai donc l'air aussi supportive qu'indifférente envers la transidentité : Fais ce que tu veux en autant que tu te sentes bien. <3 Tu as besoin que j'utilise un autre pronom? Parfait, ça me fait plaisir! ;)
En même temps, parfois, je me sens mal pour cette froideur. Même si j'encourage et je suis pour la liberté des LGBTQ+, je me sens mal de me sentir déconcernée; je me sens mal d'être presque incapable d'éprouver de la compassion pour eux qui sont condamnés par une erreur de la nature. J'ai l'impression d'être hypocrite et fausse dans mes soutiens envers eux; j'aimerais qu'ils ne savent que je fais fi de leur genre, je n'ose donc jamais m'exprimer sur ce sujet dans la « vraie » vie.
Je ne sais pas si c'est que tu veux dire par le fait que tu te fous un peu des pronoms, mais dans tous sens de ta question, je peux te répondre que non, il y au moins moi qui partage avec toi ce sentiment.
Par ailleurs, pour répondre à la question dans ton titre, j'ai fait une recherche sur la « non-définition d'un genre », et j'ai trouvé « agenre » :
Identité de genre des personnes qui ne se définissent dans aucun genre. Les personnes agenres rejettent entièrement ou partiellement l’idée même du genre et ressentent une absence totale ou partielle de genre. Il se rapproche du genre neutre, ou d'un troisième genre (ni masculin, ni féminin).
Si tu es agenre, tu n'es pas seul non plus, même si je ne me définis pas trop comme agenre parce que féminin et masculin existent visblement sous forme biologique.
LoutreAventureuse9
elle/elle
Allô,
C'est certain que tu n'es pas le seul à te sentir comme ça.
Il n'y a pas de raisin de faire une annonce pour cela. Juste être qui tu es et ce sera parfait. Il y a 1000 façons d'être un gars, comme il y a 1000 façons d'être une fille. Tu n'as pas à te mettre une étiquettes. Il y a comme une mode que ça presse de se mettre une etiquette, mais il n'y a tellement rien qui presse et il n'est pas nécessaire que cette etiquette arrive.