TRUCS; crises de paniques
AthlétismeAuthentique6
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ZombaJudicieux5
elle/elle·15 ans
14hl’attachement qui blesseplusieurs parle de l’attachement en couple et des peines d’amour qui sont douloureuses mais parlons aussi des attachements envers les profs certains vont dire que c’est bizarre de s’attacher à un prof, mais lorsque tu n’as pas eu d’écoute et que tu n’as pas de figure paternelle présente dison que c’est douloureux. je m’explique tu passe un an avec la présence d’un prof qui t’a apporter son aide et qui a même organiser son horaire pour placer des rencontre avec moi pour m’aider avec mon anxiété de performance et à savoir que c’est lui qui a remarquer et qui m’a proposer de l’aide et moi qui a accepter plus tard de prendre son aide en considération après tout les suivis que j’ai déjà eu c’est l’adulte qui m’a réellement apporter de l’aide et donner des conseils justes. puis il était un prof extraordinaire hyper drôle divertissant et intéressant en classe dans sa façon d’enseigner bref incroyable. juste en entrant dans la classe tu allais déjà mieux et le sourire était revenue. à la fin de l’année j’apprends qu’il quitte notre école l’année suivante il m’aidait pourtant avec ma confiance en moi et la je me suis sentie abandonné et vraiment encore aujourd’hui c’est dur pour moi de pas y repenser quand je vais en science je pense juste à l’apnée passée les cours incroyables bref voilà il est revenu déjà à l’école faire des tours et à chaque fois je finis en crise de paniques je ne sais plus quoi faire quelqu’un a déjà vécu ça et c’était quoi vos trucs pour décrocher , car j’ai encore contact avec lui mais c’est dur de s’organiser une rencontre à mon école vu les horaire et les écoles différentes bref voilà merci d’avance désolée si c’est long.
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EucalyptusJudicieux5
elle/elle
19hEst-ce que c'est normal?Bonjour, donc comme vous le savez, je suis chinoise d'origine. Dans la culture chinoise, il y a la "hiérarchie familiale" qui présume que les grands-parents sont au-dessus des parents qui sont au-dessus des enfants.
Cependant, il y a un hic. Mes parents ne croient pas en la passage d'adolescence (pas leurs mots, mais vous allez comprendre.) Par exemple, quand j'avais neuf ans ("Tu as déjà neuf ans, arrête de te comporter en bébé, tu dois aider dans la famille!") Écrit comme ça, ça ne semble pas si mal, mais laissez-moi expliquer.
Je suis - selon eux - une enfant gâtée qui veut tout pour elle-même, surtout quand je capote parfois parce que mes parents ne captent jamais le sarcasme et me crient dessus pour avoir été sarcastique, j'ai insulté personne je faisais des blagues et ils crient (un autre défaut, j'en ai parlé avec quelques amis chinois et ils sont tous d'accord avec moi que les parents ne comprennent pas le sarcasme) et quand je "suis juste sur mon ordinateur en train de ne pas aider à la maison".
Ce qu'ils veulent que je sois? Une adulte. Ouais. Ils veulent que je suis mature, ma mère me donne des conseils pour les relations amoureuses, qui pour moi ne servent à rien, j'ai des hyper bonnes notes à part en éducation physique et j'ai envie de finir mon éducation sans jamais "être sortie avec" personne. Ma mère veut que j'aide dans la maison qui peut paraître raisonnable mais aujourd'hui j'ai dit un mauvais mot et elle m'a ordonné de laver la poêle (ben, le truc pour cuisiner, je ne sais pas comment le dire en français, en anglais c'est un "frying pan").
Mais je suis mineure.
Ce que mes parents veulent de moi quand je serais adulte : Bonne élève qui finit ses études à un bon université américain (pensez Harvard), vit avec ses parents (ils veulent assister à ma graduation!!), aie un bon travail bien payant, achète une maison et aie un mari et soit des enfants, soit des animaux de compagnie.
Ce que je veux : Économiser de l'argent (j'en ai un peu plus de 1000$ en ce moment (je ne vous dirais pas le montant exact, ça serait ridicule de mon point de vue), mais ils refusent que je dépasse ce montant), couper le pont avec mes parents, aller à McGill, finir mes études, vivre seule, ne jamais me marier avant d'avoir fini l'université (car tu ne sais pas où les autres vont être rendus si tu as des crushes au secondaire, au cégep ou même à l'université car ça ne veut pas dire qu'il réussira dans la vie) devenir écrivaine (j'ai déjà écrit une histoire en anglais de 100 pages l'année passée et je vais faire la préquelle de l'histoire ainsi que sa suite cette année. J'adore lire et écrire.
Mes parents m'ont déjà causé des traumatismes (je ne crois pas que ce soit aussi grave que le PTSD, juste des traumatismes normaux). Par exemple, la fois quand ma mère était fâchée contre moi, j'avais sept ans, et elle a dit qu'elle va me renvoyer en Chine. Ou la fois quand j'avais dit un mauvais mot en mandarin (ouais, je dis plusieurs mauvais mots, c'est une habitude que je dois améliorer) et mon père a dit que s'il m'entend encore dire ça il va m'expulser de la maison. Ou quand mon père, qui me n'a jamais frappée, avait justifié que parfois c'est acceptable de frapper les enfants. Ou ma mère qui a frappé mon chien (raison pourquoi je ne veux pas de chien, je trouve qu'ils sont hyper cute mais je ne veux pas qu'ils seraient comme ce que ma mère a fait au chien que j'ai en ce moment) parce qu'il a mordu le mur. Ou encore quand aujourd'hui, ma mère m'a dit "Si tu ne te comportes pas bien avec moi, je te donnerai la pire version de moi." Euh... je croyais que les enfants faisaient des parents leur modèles, pas le contraire? Et oui, c'est un sujet que j'ai abordé avec mes parents. Ils m'ont répliqué que quand ils étaient petits, ils ne faisaient pas nécessairement la même chose que moi, par exemple ils ne connaissaient pas français (Euh...?)
La pire chose ce sont les histoires que mes parents me racontent à propos de leurs propres parents et grands-parents. Là je commence à comprendre, c'est un cycle toxique d'abus. En fait, mes parents sont les moins stricts de tous mes oncles, tantes, et cousins qui ont déjà un/des enfant(s). Ils ne peuvent pas rompre le cycle car c'est tout ce qu'ils ont su avec leur grands-parents, parents, oncles, tantes, sœurs et cousins qu'ils avaient. J'ai trop peur d'avoir un enfant et de continuer le cycle. Ou d'avoir un animal de compagnie, d'ailleurs.
Quand j'en ai parlé à un ami Blanc québécois d'origine en sixième année il était très confus. Il m'a dit que ses parents se fichent totalement de ses notes et il joue aux jeux vidéo jusqu'à tard. J'ai trouvé comment allumer le flashlight dans mon téléphone et écrire jusqu'à tard dans mon cahier pas électronique, mais bon. Je ne sais pas ce qu'il veut dire par jusqu'à tard. Moi je me couche à 23h00 maximum... en sixième année c'était 21h30...
Est-ce que ç'a un lien avec la culture, dois-je accepter cela même si je déteste cela, et dois-je "en profiter" comme mes parents le disent?
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LoutreHumble7
elle/elle
1jJe sais plusCette année j`ai commencer le secondaire et je me suis fait un ami, faut savoir que j`ai déjà vécu un traumatisme. Cet ami avait des pensées noirs etc comme l`automutilation etc. Après mon traumatisme j`en ai pas vraiment parler. Mais puisque cet ami me parlait je lui j`ai commencer à moi aussi lui parler, mais depuis un bout c`est comme si je m`enfonce avec lui comme j`ai commencer à me mutiler et à avoir des pensées plus dark. Je ne sais pas si je dois lui dire ou????????????
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ArcodéonImaginative5
elle/elle·17 ans
1jse sentir seuleIl y a un mois, j’ai été diagnostiquée avec une maladie qui a complètement changé ma vie en tant qu’adolescente, c’est vraiment dur de vivre ça j’ai réalisé pendant mon hospitalisation que les gens pour qui j’ai toujours été là ne me considéraient pas autant que je les considérais c’est dans ces moments-là qu’on voit qui est réellement là pour nous, et ça fait mal. depuis ce diagnostic, ma vie est devenue compliquée je ne peux plus vivre comme avant je n’ai presque plus de vie sociale parce que je suis immunosupprimée. Sortir est devenu un risque constant, et ça me fait peur. Je me sens piégée, seule et complètement isolée et franchement, ce n’est pas facile à vivre je réalise aujourd’hui que la santé est vraiment la plus grande richesse qu’on puisse avoir
Réponses
Casouletprodigieux3
elle/elle·17 ans
C'est différent pour tout le monde donc il n 'y a pas vraiment de trucs qui vont marcher pour tout le monde. Mais je peux t'en donner quelques un qui m'aide! Alors ya quelques jours quand j'ai eu une crise de panique j'ai inspirer pendant 5 secondes, j'ai retenu mon souffle pendant 4 secondes et j'ai expirer pendant 6 secondes! J'ai fait ça 10 fois et ça m'as un peu aidé! Aussi, j'ai dit dans ma tête toutes les choses/gens/animaux que j'aime dans ma vie, qui m'apporte plusieurs trucs/émotions/sentiments positifs. (j'ai penser à ma famille, à mes ami.e.s, à ma meilleure amie, à mon crush bref, pas mal tout le monde de mon entourage ;) ) Peut être que ça ne vas pas fonctionner pour toi et si c'est le cas c'est correct parce qu'on est tous.toutes différent.e.s! Pour moi, ces trucs diminu un peu mon stress mais je ne connaît pas de trucs qui empêche mes crises de panique d'avoir lieu.. J'espère que j'ai aidé!! Hésite pas si ya quoi que ce soit!!!
xxx
SoleilSportive11
Ado TJ·elle/elle·19 ans
Hmm... ce sont pas des questions évidentes à répondre, mais je vais faire de mon mieux :)
Ce que tu vas lire prochainement est une liste de petits trucs qu’il est possible de faire / suivre, mais je ne suis pas une professionnelle. Je voulais aussi dire que, des fois, ça peut sonner très simple et cliché, mais parfois, ce sont des petits changements qui amènent des gros résultats ;)
Donc, pour prévenir une crise de panique, l’anxiété...
1. Bien respirer. Parfois, quand quelqu’un ne se sent pas bien, il peut arriver qu’une personne « oublie » de respirer. Parfois, juste prendre une grande inspiration et une expiration profonde peut aider à se sentir plus « léger.ère ». Ça aide à réduire un peu la « tension » dans le corps.
2. Le jeu (ou la technique) des 5 sens. En gros, c’est un genre d’exercice pour être plus de conscience et pour vivre plus dans le moment présent. Regarde autour de toi et prends du temps pour de la réflexion. Tu dois « noter mentalement » 5 choses que tu vois, 4 choses que tu touches, 3 choses que tu entends, 2 choses que sens et 1 chose que tu goûtes.
3. Faire de l’exercice. Que ce soit relaxant ou énergisant, l’important est que tu choisisses ce qui te convient. Ça peut glander à « te défouler », à « faire sortir la négativité »... je ne sais pas trop comment expliquer, mais quand tu fais un exercice qui te plait, tu te sentiras bien :)
4. Parler. C’est important d’en parler, si tu te sens à l’aise, bien sûr. T’exprimer en mots peut aider à prévenir /réduire les maux. Entoure-toi de gens avec qui tu te sens confortable et à l’aise.
5. Écrire. Si tu veux t’exprimer en mots, il y a plusieurs façons de le faire et si tu ne te sens pas tout de suite à l’aise d’en parler, écrire est très bénéfique. Ça fait du bien, ça fait encore « sortir le négatif « , ça apaise.
6. Musique. Parfois, la musique peut nous faire « «transporter dans un monde nouveau ». Elle peut apaiser l’esprit d’une façon unique. À ce fait, faire plein de « gribouillis » au lieu d’écrire peut aussi aider, l’art est vraiment incroyable.
Bref, j’espère que ces trucs /astuces pourront t’aider. Si jamais tu te questionnes davantage, n’hésite pas!
FougèrePositif13
elle/elle
pour ton anxiété comme pour les crise de panique tu dois respirer tu peux aussi boire une infusion de camomille et se qui marche avec moi ses d'occuper son esprit peint prend un bain fais des liste de se que tu veux (se qui marche avec moi ses la lecture juste se concentré sur les mot) bon j’espère t’avoir aidée pour tes crise de panique et ton anxiété passe une bonne journée ou soirée