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PersilSage4

elle/elle

4m

je sais pas dans quelle catégorie mettre ce post hihi


bon , toutes choses appart , je suis une adolescente , mais j'ai encore des amies imaginaires. je sais , c'est un peu bizarre d'avoir 13/14 ans et avoir des personnes non réelles avec qui parler , mais j'en ai eu depuis que j'étais jeune , et je ne pense pas m'en débarrasser aussi tôt ! j'ai quelques autres de mes amies qui en a aussi , et ça me rassure un peu d'être pas la seule , mais quand même. j'en ai jamais parlé avec mes parents (et j'en compte pas leur parler de cela non plus). quand les gens me demande qui elles sont , je réponds que c'est juste des "ocs" (original characters , genre des personnages que j'ai créé). j'ai toujours rêvé d'être dans un monde rempli de magie et d'aventures. est-ce que c'est normal à mon âge ??

Réponses

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    SnowboardBrillant15 alltheme

    Ado TJ·elle/il

    4m

    Salut @PersilSage4 :)

    Selon moi, il est parfaitement normal d'avoir des amis imaginaire peut importe ton âge. Cela fait juste prouver que tu as une incroyable imagination ce qui est une qualité. Il est normal d'avoir peur d'être juger pour des trucs comme ca, mais cela ne veut pas dire que c'est pas normal. Les gens juge tous et n'importe quoi, alors tu n'as pas a t'empêcher de faire des trucs a cause de ca.

    J'espéré que j'ai pu t'aider et personnellement je trouve ca très cool ce que tu vis :)

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    TabouléBavard7 alltheme

    Ado TJ·il/lui

    4m

    Allo @PersilSage4!

    Je dirais pas que c'est quelque chose de mauvais d'avoir des amis imaginaires. Bien au contraire, ça peut être réconfortant en quelques sortes puisque tu pourrais avoir l'impression de ne jamais être seul.

    Par rapport à ton questionnement sur l'âge d'avoir des amis imaginaires, je te dirais que tu peux en avoir peu importe l'âge et que ce n'est pas un problème. Tu peux garder cette information pour toi et tu peux en parler à d'autres personnes, c'est vraiment comme tu le sens.

    J'espère vraiment avoir pu t'aider et n'hésite pas à revenir sur le forum s'il y a quoi que ce soi! Prends soins de toi :)

    TabouléBavard7

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    SushisAudacieuse3

    elle/elle

    4m

    Salut !


    Bien sur que c'est normal je fait littéralement la meme chose !


    En fait j'écrit un livre et la plupart du temps je considère mes personnages comme mes "bébé" car je les crée, leurs donne un prénom et le reste de leur vie dépends de mes choix. Et sa m'arrive de m'imaginer discutter avec eux. (Mais nos discutions tourne autours de scénario d'histoire mais je discutte avec eux.)


    Tout ça pour dire que c'est une chose tout a fait normal.


    Sushis


    "Je suis ma meilleure amie. Nous le sommes tous"

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    ChatLoyal8

    elle/elle·14 ans

    4m

    Salut @PersilSage4! Oui c’est normal… je fais pareil! Plus autant qu’avant mais quand même j’ai encore des amis imaginaires qui me tiennent compagnie quand je suis seule! J’en ai pas parlé à mes amis de maintenant (je l’avais fait quand j’avais 8 ans je l’avais dit à mes amis du primaire et ils s’était moqué de moi. Alors j’en ai juste plus parlé) mais j’en ai encore. Et puis comme toi j’ai toujours rêvé d’être dans un monde de magie! Tout mon primaire j’ai attendu qu’une fée ou un sorcier ou un truc comme ça vienne me chercher (ça n’est jamais arrivé malheureusement 🥲) et encore aujourd’hui quand je lis des livres après des fois je me dit que j’aimerais tellement que ça soit comme ça dans la vraie vie! Donc rassure toi je te comprends, et je sais que c’est plate quand les autres jugent mais quand ils le font écoute les pas, tu as le droit d’avoir des amis imaginaires!

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    GuépardPatiente6

    elle/elle

    4m

    Salut! J’espère que tu va bien !!

    Pour vrai avoir des amies imaginaires c bin correct! T’sé tant que tu es heureuse c’est parfait je crois! C le fun avoir des amies imaginaires car ils sont comme on veut ils sont dans un certain sens « parfait ». Le but c’est que tu te sente bien avec eux!

    bonne journée!

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    ZombaJudicieux5

    elle/elle·15 ans

    8h
    l’attachement qui blesse

    plusieurs parle de l’attachement en couple et des peines d’amour qui sont douloureuses mais parlons aussi des attachements envers les profs certains vont dire que c’est bizarre de s’attacher à un prof, mais lorsque tu n’as pas eu d’écoute et que tu n’as pas de figure paternelle présente dison que c’est douloureux. je m’explique tu passe un an avec la présence d’un prof qui t’a apporter son aide et qui a même organiser son horaire pour placer des rencontre avec moi pour m’aider avec mon anxiété de performance et à savoir que c’est lui qui a remarquer et qui m’a proposer de l’aide et moi qui a accepter plus tard de prendre son aide en considération après tout les suivis que j’ai déjà eu c’est l’adulte qui m’a réellement apporter de l’aide et donner des conseils justes. puis il était un prof extraordinaire hyper drôle divertissant et intéressant en classe dans sa façon d’enseigner bref incroyable. juste en entrant dans la classe tu allais déjà mieux et le sourire était revenue. à la fin de l’année j’apprends qu’il quitte notre école l’année suivante il m’aidait pourtant avec ma confiance en moi et la je me suis sentie abandonné et vraiment encore aujourd’hui c’est dur pour moi de pas y repenser quand je vais en science je pense juste à l’apnée passée les cours incroyables bref voilà il est revenu déjà à l’école faire des tours et à chaque fois je finis en crise de paniques je ne sais plus quoi faire quelqu’un a déjà vécu ça et c’était quoi vos trucs pour décrocher , car j’ai encore contact avec lui mais c’est dur de s’organiser une rencontre à mon école vu les horaire et les écoles différentes bref voilà merci d’avance désolée si c’est long.

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    EucalyptusJudicieux5

    elle/elle

    13h
    Est-ce que c'est normal?

    Bonjour, donc comme vous le savez, je suis chinoise d'origine. Dans la culture chinoise, il y a la "hiérarchie familiale" qui présume que les grands-parents sont au-dessus des parents qui sont au-dessus des enfants.

    Cependant, il y a un hic. Mes parents ne croient pas en la passage d'adolescence (pas leurs mots, mais vous allez comprendre.) Par exemple, quand j'avais neuf ans ("Tu as déjà neuf ans, arrête de te comporter en bébé, tu dois aider dans la famille!") Écrit comme ça, ça ne semble pas si mal, mais laissez-moi expliquer.

    Je suis - selon eux - une enfant gâtée qui veut tout pour elle-même, surtout quand je capote parfois parce que mes parents ne captent jamais le sarcasme et me crient dessus pour avoir été sarcastique, j'ai insulté personne je faisais des blagues et ils crient (un autre défaut, j'en ai parlé avec quelques amis chinois et ils sont tous d'accord avec moi que les parents ne comprennent pas le sarcasme) et quand je "suis juste sur mon ordinateur en train de ne pas aider à la maison".

    Ce qu'ils veulent que je sois? Une adulte. Ouais. Ils veulent que je suis mature, ma mère me donne des conseils pour les relations amoureuses, qui pour moi ne servent à rien, j'ai des hyper bonnes notes à part en éducation physique et j'ai envie de finir mon éducation sans jamais "être sortie avec" personne. Ma mère veut que j'aide dans la maison qui peut paraître raisonnable mais aujourd'hui j'ai dit un mauvais mot et elle m'a ordonné de laver la poêle (ben, le truc pour cuisiner, je ne sais pas comment le dire en français, en anglais c'est un "frying pan").

    Mais je suis mineure.

    Ce que mes parents veulent de moi quand je serais adulte : Bonne élève qui finit ses études à un bon université américain (pensez Harvard), vit avec ses parents (ils veulent assister à ma graduation!!), aie un bon travail bien payant, achète une maison et aie un mari et soit des enfants, soit des animaux de compagnie.

    Ce que je veux : Économiser de l'argent (j'en ai un peu plus de 1000$ en ce moment (je ne vous dirais pas le montant exact, ça serait ridicule de mon point de vue), mais ils refusent que je dépasse ce montant), couper le pont avec mes parents, aller à McGill, finir mes études, vivre seule, ne jamais me marier avant d'avoir fini l'université (car tu ne sais pas où les autres vont être rendus si tu as des crushes au secondaire, au cégep ou même à l'université car ça ne veut pas dire qu'il réussira dans la vie) devenir écrivaine (j'ai déjà écrit une histoire en anglais de 100 pages l'année passée et je vais faire la préquelle de l'histoire ainsi que sa suite cette année. J'adore lire et écrire.

    Mes parents m'ont déjà causé des traumatismes (je ne crois pas que ce soit aussi grave que le PTSD, juste des traumatismes normaux). Par exemple, la fois quand ma mère était fâchée contre moi, j'avais sept ans, et elle a dit qu'elle va me renvoyer en Chine. Ou la fois quand j'avais dit un mauvais mot en mandarin (ouais, je dis plusieurs mauvais mots, c'est une habitude que je dois améliorer) et mon père a dit que s'il m'entend encore dire ça il va m'expulser de la maison. Ou quand mon père, qui me n'a jamais frappée, avait justifié que parfois c'est acceptable de frapper les enfants. Ou ma mère qui a frappé mon chien (raison pourquoi je ne veux pas de chien, je trouve qu'ils sont hyper cute mais je ne veux pas qu'ils seraient comme ce que ma mère a fait au chien que j'ai en ce moment) parce qu'il a mordu le mur. Ou encore quand aujourd'hui, ma mère m'a dit "Si tu ne te comportes pas bien avec moi, je te donnerai la pire version de moi." Euh... je croyais que les enfants faisaient des parents leur modèles, pas le contraire? Et oui, c'est un sujet que j'ai abordé avec mes parents. Ils m'ont répliqué que quand ils étaient petits, ils ne faisaient pas nécessairement la même chose que moi, par exemple ils ne connaissaient pas français (Euh...?)

    La pire chose ce sont les histoires que mes parents me racontent à propos de leurs propres parents et grands-parents. Là je commence à comprendre, c'est un cycle toxique d'abus. En fait, mes parents sont les moins stricts de tous mes oncles, tantes, et cousins qui ont déjà un/des enfant(s). Ils ne peuvent pas rompre le cycle car c'est tout ce qu'ils ont su avec leur grands-parents, parents, oncles, tantes, sœurs et cousins qu'ils avaient. J'ai trop peur d'avoir un enfant et de continuer le cycle. Ou d'avoir un animal de compagnie, d'ailleurs.

    Quand j'en ai parlé à un ami Blanc québécois d'origine en sixième année il était très confus. Il m'a dit que ses parents se fichent totalement de ses notes et il joue aux jeux vidéo jusqu'à tard. J'ai trouvé comment allumer le flashlight dans mon téléphone et écrire jusqu'à tard dans mon cahier pas électronique, mais bon. Je ne sais pas ce qu'il veut dire par jusqu'à tard. Moi je me couche à 23h00 maximum... en sixième année c'était 21h30...

    Est-ce que ç'a un lien avec la culture, dois-je accepter cela même si je déteste cela, et dois-je "en profiter" comme mes parents le disent?

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    LoutreHumble7

    elle/elle

    1j
    Je sais plus

    Cette année j`ai commencer le secondaire et je me suis fait un ami, faut savoir que j`ai déjà vécu un traumatisme. Cet ami avait des pensées noirs etc comme l`automutilation etc. Après mon traumatisme j`en ai pas vraiment parler. Mais puisque cet ami me parlait je lui j`ai commencer à moi aussi lui parler, mais depuis un bout c`est comme si je m`enfonce avec lui comme j`ai commencer à me mutiler et à avoir des pensées plus dark. Je ne sais pas si je dois lui dire ou????????????

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    ArcodéonImaginative5

    elle/elle·17 ans

    1j
    se sentir seule

    Il y a un mois, j’ai été diagnostiquée avec une maladie qui a complètement changé ma vie en tant qu’adolescente, c’est vraiment dur de vivre ça j’ai réalisé pendant mon hospitalisation que les gens pour qui j’ai toujours été là ne me considéraient pas autant que je les considérais c’est dans ces moments-là qu’on voit qui est réellement là pour nous, et ça fait mal. depuis ce diagnostic, ma vie est devenue compliquée je ne peux plus vivre comme avant je n’ai presque plus de vie sociale parce que je suis immunosupprimée. Sortir est devenu un risque constant, et ça me fait peur. Je me sens piégée, seule et complètement isolée et franchement, ce n’est pas facile à vivre je réalise aujourd’hui que la santé est vraiment la plus grande richesse qu’on puisse avoir