Est-ce normal

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RamenIndulgent11

elle/il

1a

Est-ce que c'est normal que lorsque je me fait mal je rit car les autre rit alors que j'ai vraiment mal

Réponses

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    LavandeCompréhensif17

    elle/elle·18 ans

    1a

    Selon moi, oui et ce pour la seule raison que le rire est contagieux.

    Ce que je veux dire par là c'est que chimiquement dans notre corps, entendre quelqu'un rire a des effets sur notre corps et notre cerveau.

    C'est peut-être en lien avec les neurones miroirs (les neurones qui fais en sorte qu'on baille après avoir vu quelqu'un baillé).

    J'espère avoir pu t'aider :)

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    RoseSympathique7 alltheme

    Ado TJ·elle/elle·18 ans

    1a

    Salut @RamenIndulgent11 !

    J'espère que tu vas bien.

    Oui, bien sûr que c'est normal! Ne t'inquiète pas, c'est souvent l'effet de groupe et le malaise que ça créée. Un moment donné j'ai eu la brillante idée de prendre mon vélo et de descendre une pente apique pleins de roches et je me suis fait hypppper mal hahaha j'ai perdu le contrôle de ma bicyclette et tout mon coté gauche était solidement magané. J'ai ris malgré la douleur, peut-être juste pour montrer aux autres que j'suis faite forte je sais pas! Mais ce sont des choses qui arrivent et ne t'inquiète pas c'est super normal de réagir de même, t'es pas seul.e.

    :)

    Prends soin de toi et n'hésite pas s'il y a quoi que ce soit xx

    RoseSympathique7

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    CouscousRusé8

    elle/elle·17 ans

    1a

    je ne sais pas mais ça m'arrive desfois :)

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    TisaneBienveillante10 alltheme

    Ado TJ·elle/elle·18 ans

    1a

    Allo :)

    Oui, je pense que c’est normal. Ça me fait penser à quand on se fait mal et que des gens nous demandent comment ça va. En général, je crois que la véritable réponse est non, mais on a quand même le réflexe de dire oui oui! Personnellement, je crois que je réponds comme ça pour détendre l’atmosphère et pour banaliser en quelques sortes l’incident. C’est normal de ne pas vouloir avoir le spotlight sur soi, surtout lorsqu’on est dans une situation où on est un peu ridiculisé! Alors je pense que ta réaction est complètement normale. 

    Par contre, je crois que si ça ne te tente pas de rire alors qu’en vrai, tu as mal, tu peux très bien ne pas rire et c’est correct, tu as le droit. Parfois, je me tanne de faire semblant que je vais bien pour ne pas attirer l’attention, alors je fais juste ne rien dire. Je ne suis pas encore rendue au stade de remettre les gens à leur place et leur dire que ce qu’ils disent/font me heurtent, mais de plus en plus, j’arrive à ne pas cacher mon expression faciale pas contente ;) 

    Si jamais tu voulais un conseil, j’en ai un petit pour toi :) Je crois je tu pourrais prendre un moment, si tu veux, un jour, pour proposer à tes ami.e.s (ou les gens qui rient d’habitude lorsque tu te blesses) une autre chose à faire que rire lorsque tu te fais mal. En le disant d’une manière drôle, je pense que le message pourrait très bien passer! Je pense que à quelque chose de sarcastique comme : « Ouin ça rit de moi, faudrait surtout pas venir aider la grande blessée! » Si tu ne te sens pas trop à l’aise, c’est très correct, pas besoin de leur dire directement. Tu peux aussi décider de montrer l’exemple. Je veux dire que la prochaine fois que tu vois quelqu’un se faire mal, tu pourrais essayer de réagir de la manière par laquelle tu aimerais que les autres réagissent si c’était toi. Je pense qu’en prenant de bonnes habitudes comme ça, même si au début ça peut faire bizarre que tu réagisses différemment, ça va tranquillement se propager autour de toi et ça deviendra habituel de se comporter de cette meilleure manière-là. Pour te donner une idée, c’est devenu assez naturel chez moi de respecter les pronoms des gens, alors que quand j’étais petite, on avait parfois le mauvais réflexe de dire « elle » pour parler d’un homme trans dont le pronom est en réalité « il », par exemple. Dorénavant, c’est automatique pour moi et pour ma famille de dire le bon pronom et je crois que c’est avec le temps et l’habitude qu’on normalise cette façon de s’exprimer. Même chose pour dire « si j’avais » (au lieu de « si j’aurais ») ou pour dire « avoir du sens » plutôt que « faire du sens »! Des habitudes qui se développent et se propagent en influençant notre entourage :)

    J’espère que mon mot t’aidera! Ta réaction est très normale, mais tu as le droit de faire autrement pour te sentir mieux! Passe une belle journée ❤️

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    ZombaJudicieux5

    elle/elle·15 ans

    8h
    l’attachement qui blesse

    plusieurs parle de l’attachement en couple et des peines d’amour qui sont douloureuses mais parlons aussi des attachements envers les profs certains vont dire que c’est bizarre de s’attacher à un prof, mais lorsque tu n’as pas eu d’écoute et que tu n’as pas de figure paternelle présente dison que c’est douloureux. je m’explique tu passe un an avec la présence d’un prof qui t’a apporter son aide et qui a même organiser son horaire pour placer des rencontre avec moi pour m’aider avec mon anxiété de performance et à savoir que c’est lui qui a remarquer et qui m’a proposer de l’aide et moi qui a accepter plus tard de prendre son aide en considération après tout les suivis que j’ai déjà eu c’est l’adulte qui m’a réellement apporter de l’aide et donner des conseils justes. puis il était un prof extraordinaire hyper drôle divertissant et intéressant en classe dans sa façon d’enseigner bref incroyable. juste en entrant dans la classe tu allais déjà mieux et le sourire était revenue. à la fin de l’année j’apprends qu’il quitte notre école l’année suivante il m’aidait pourtant avec ma confiance en moi et la je me suis sentie abandonné et vraiment encore aujourd’hui c’est dur pour moi de pas y repenser quand je vais en science je pense juste à l’apnée passée les cours incroyables bref voilà il est revenu déjà à l’école faire des tours et à chaque fois je finis en crise de paniques je ne sais plus quoi faire quelqu’un a déjà vécu ça et c’était quoi vos trucs pour décrocher , car j’ai encore contact avec lui mais c’est dur de s’organiser une rencontre à mon école vu les horaire et les écoles différentes bref voilà merci d’avance désolée si c’est long.

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    EucalyptusJudicieux5

    elle/elle

    14h
    Est-ce que c'est normal?

    Bonjour, donc comme vous le savez, je suis chinoise d'origine. Dans la culture chinoise, il y a la "hiérarchie familiale" qui présume que les grands-parents sont au-dessus des parents qui sont au-dessus des enfants.

    Cependant, il y a un hic. Mes parents ne croient pas en la passage d'adolescence (pas leurs mots, mais vous allez comprendre.) Par exemple, quand j'avais neuf ans ("Tu as déjà neuf ans, arrête de te comporter en bébé, tu dois aider dans la famille!") Écrit comme ça, ça ne semble pas si mal, mais laissez-moi expliquer.

    Je suis - selon eux - une enfant gâtée qui veut tout pour elle-même, surtout quand je capote parfois parce que mes parents ne captent jamais le sarcasme et me crient dessus pour avoir été sarcastique, j'ai insulté personne je faisais des blagues et ils crient (un autre défaut, j'en ai parlé avec quelques amis chinois et ils sont tous d'accord avec moi que les parents ne comprennent pas le sarcasme) et quand je "suis juste sur mon ordinateur en train de ne pas aider à la maison".

    Ce qu'ils veulent que je sois? Une adulte. Ouais. Ils veulent que je suis mature, ma mère me donne des conseils pour les relations amoureuses, qui pour moi ne servent à rien, j'ai des hyper bonnes notes à part en éducation physique et j'ai envie de finir mon éducation sans jamais "être sortie avec" personne. Ma mère veut que j'aide dans la maison qui peut paraître raisonnable mais aujourd'hui j'ai dit un mauvais mot et elle m'a ordonné de laver la poêle (ben, le truc pour cuisiner, je ne sais pas comment le dire en français, en anglais c'est un "frying pan").

    Mais je suis mineure.

    Ce que mes parents veulent de moi quand je serais adulte : Bonne élève qui finit ses études à un bon université américain (pensez Harvard), vit avec ses parents (ils veulent assister à ma graduation!!), aie un bon travail bien payant, achète une maison et aie un mari et soit des enfants, soit des animaux de compagnie.

    Ce que je veux : Économiser de l'argent (j'en ai un peu plus de 1000$ en ce moment (je ne vous dirais pas le montant exact, ça serait ridicule de mon point de vue), mais ils refusent que je dépasse ce montant), couper le pont avec mes parents, aller à McGill, finir mes études, vivre seule, ne jamais me marier avant d'avoir fini l'université (car tu ne sais pas où les autres vont être rendus si tu as des crushes au secondaire, au cégep ou même à l'université car ça ne veut pas dire qu'il réussira dans la vie) devenir écrivaine (j'ai déjà écrit une histoire en anglais de 100 pages l'année passée et je vais faire la préquelle de l'histoire ainsi que sa suite cette année. J'adore lire et écrire.

    Mes parents m'ont déjà causé des traumatismes (je ne crois pas que ce soit aussi grave que le PTSD, juste des traumatismes normaux). Par exemple, la fois quand ma mère était fâchée contre moi, j'avais sept ans, et elle a dit qu'elle va me renvoyer en Chine. Ou la fois quand j'avais dit un mauvais mot en mandarin (ouais, je dis plusieurs mauvais mots, c'est une habitude que je dois améliorer) et mon père a dit que s'il m'entend encore dire ça il va m'expulser de la maison. Ou quand mon père, qui me n'a jamais frappée, avait justifié que parfois c'est acceptable de frapper les enfants. Ou ma mère qui a frappé mon chien (raison pourquoi je ne veux pas de chien, je trouve qu'ils sont hyper cute mais je ne veux pas qu'ils seraient comme ce que ma mère a fait au chien que j'ai en ce moment) parce qu'il a mordu le mur. Ou encore quand aujourd'hui, ma mère m'a dit "Si tu ne te comportes pas bien avec moi, je te donnerai la pire version de moi." Euh... je croyais que les enfants faisaient des parents leur modèles, pas le contraire? Et oui, c'est un sujet que j'ai abordé avec mes parents. Ils m'ont répliqué que quand ils étaient petits, ils ne faisaient pas nécessairement la même chose que moi, par exemple ils ne connaissaient pas français (Euh...?)

    La pire chose ce sont les histoires que mes parents me racontent à propos de leurs propres parents et grands-parents. Là je commence à comprendre, c'est un cycle toxique d'abus. En fait, mes parents sont les moins stricts de tous mes oncles, tantes, et cousins qui ont déjà un/des enfant(s). Ils ne peuvent pas rompre le cycle car c'est tout ce qu'ils ont su avec leur grands-parents, parents, oncles, tantes, sœurs et cousins qu'ils avaient. J'ai trop peur d'avoir un enfant et de continuer le cycle. Ou d'avoir un animal de compagnie, d'ailleurs.

    Quand j'en ai parlé à un ami Blanc québécois d'origine en sixième année il était très confus. Il m'a dit que ses parents se fichent totalement de ses notes et il joue aux jeux vidéo jusqu'à tard. J'ai trouvé comment allumer le flashlight dans mon téléphone et écrire jusqu'à tard dans mon cahier pas électronique, mais bon. Je ne sais pas ce qu'il veut dire par jusqu'à tard. Moi je me couche à 23h00 maximum... en sixième année c'était 21h30...

    Est-ce que ç'a un lien avec la culture, dois-je accepter cela même si je déteste cela, et dois-je "en profiter" comme mes parents le disent?

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    LoutreHumble7

    elle/elle

    1j
    Je sais plus

    Cette année j`ai commencer le secondaire et je me suis fait un ami, faut savoir que j`ai déjà vécu un traumatisme. Cet ami avait des pensées noirs etc comme l`automutilation etc. Après mon traumatisme j`en ai pas vraiment parler. Mais puisque cet ami me parlait je lui j`ai commencer à moi aussi lui parler, mais depuis un bout c`est comme si je m`enfonce avec lui comme j`ai commencer à me mutiler et à avoir des pensées plus dark. Je ne sais pas si je dois lui dire ou????????????

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    ArcodéonImaginative5

    elle/elle·17 ans

    1j
    se sentir seule

    Il y a un mois, j’ai été diagnostiquée avec une maladie qui a complètement changé ma vie en tant qu’adolescente, c’est vraiment dur de vivre ça j’ai réalisé pendant mon hospitalisation que les gens pour qui j’ai toujours été là ne me considéraient pas autant que je les considérais c’est dans ces moments-là qu’on voit qui est réellement là pour nous, et ça fait mal. depuis ce diagnostic, ma vie est devenue compliquée je ne peux plus vivre comme avant je n’ai presque plus de vie sociale parce que je suis immunosupprimée. Sortir est devenu un risque constant, et ça me fait peur. Je me sens piégée, seule et complètement isolée et franchement, ce n’est pas facile à vivre je réalise aujourd’hui que la santé est vraiment la plus grande richesse qu’on puisse avoir