il me faut une réponse

j'aurais vraiment besoin darreter de me mutiler car la je ne sais plus comment le cacher mais jsp comment arreter auriez vous des proposisions

@PétanqueHésitant15

Salut @PétanqueHésitant15 !

J'espère que tu vas bien/mieux.

J'sais comment l'automutilation c'est dangereux pour soi mais aussi pour l'addiction que ça crée en plus des marques que ça laisse.

Je t'encourage évidemment à arrêter aussi. C'est déjà une bonne étape de faite de s'avouer que c'est mauvais pour nous et même si ça crée un certain soulagement, il est éphémère et c'est pourquoi tu dois trouver d'autres solutions.

Je pense que mon truc à moi, c'était de changer mes idées quand ça me prenait, de m'entourer et donc de ne pas rester seule (dans ces temps-là je me sens très impulsive). Je pense que ça serait bien aussi que tu puisses te faire un espèce de filet de sécurité, donc un plan de plusieurs solutions que tu peux trouver pour arrêter ça.

Moi ça a été d'installer l'application « i am sober » qui compte le nombre de jours que je suis sobre (maintenant ça fait plus de deux ans - soit environ 900 jours!), et c'est très encourageant de voir le nombre de temps qu'on est capable de tenir et qu'on est très persévérant.

Ce qui m'a aidé, c'est d'en parler avec un de mes parents qui a pu m'accompagner. Je sais que c'est pas tous les parents qui sont là pour ça, mais je suis reconnaissante du soutien que j'ai eu quand ça allait pas.

Prendre de la glace dans mes mains (des cubes de glace) pour concentrer la douleur ailleurs en attendant.

Faire du sport, aller à la salle d'entrainement après l'école, pratiquer mes passions de création et de musique aussi.

J'espère que ces conseils ont pu t'aider.

Hésite pas à appeler le 811 (info-sociale) si ça te prend de te mutiler, ça va aider pour en parler. Aussi, tu peux bien évidemment appeler TJ, les contacter comme tu le souhaites pour avoir un soutien direct.

Prends soin de toi, t'es capable xxx

À bientôt ;)

RoseSympathique7

Salut!

Je crois que ce qui aiderais le mieux, c'est d'en parler, mais si tu n'es pas confortable avec ça j'ai quelques trucs pour arrêter.

Se déconcentrer (Si tu penses à te mutiler, ou que tu veux le faire, éloigne n'importe quel objet dangereux de toi et distrais toi en lisant, jouant sur ton cell, etc.

Mettre un élastique autour de ton poignet (pas trop serré) et n'importe quand que tu en as envie, tu peux jouer avec jusqu'a ce que ça passe.

Trouver quelque chose que tu aimes faire et remplace te mutiler par ça. Ça peut être du sport, de la cuisine, écouter de la musique, parler à des ami(e)s, même te laver! (Pas 6 fois par jours, non plus ;) )

Étant une personne qui a dû combattre les labyrinthes de l'auto-mutilation, cela sont des techniques qui m'ont aidée personnellement. Si elles ne marchent pas pour toi, c'est correct aussi!

xoxo

je suis fier de vous :D

pour tout le monde qui a traversé cette semaine d'examens finaux, pour tous ceux qui ont survécu jusque là, bravo !! on est à un jour des temps des fêtes, vous pouvez finalement vous reposer :)

allez, on a le jour zéro de demain, puis quoi? le 20 décembre et c'est fini !! cette semaine n'est pas encore finie, on se donne le max pour demain et après demain, puis on est en vacances et vous pourrez finalement dormir

bon temps des fêtes tout le monde :D

Je bousille ma vision des relations ???

Coucou !

Je suis une mordue de lecture !! J'adore lire et écrire un passe-temps étonnant pour les jeunes de mon âges. Je lit donc des livres un peu plus "mature" et "Dark" parce que ils sont plus long et intéressants.

Ça ma jamais trop déranger mais j'ai vue la vidéo d'une fille qui fait des études en psychologie qui explique l'importance de suivre l'âge de lecture d'un livre. Elle dit que certaine romance comportant du "toxic" présenter à un jeune public peuvent altéré leurs visions de ce que c'est être en relation et le respect mutuelle.

J'ai bien aimer sa vidéo asser bienveillante et là je me suis full remis en question...

Je suis parfaitement capable de reconnaître le toxique dans mes lectures et je ne le tolère pas. Mais quand même j'ai soudainement peur que certain truc que je visualise comme "normal" ne le son pas du tout !!

Je bousille ma vision de l'amour ??

Sushis

Je ne sais pas quoi faire

J'ai une amie que je connais depuis environ 2 ans. Elle se mutile et elle as essayé de s'enlever la vie plusieurs fois avant et après s'être rencontré. La plus récente c'était au début de l'année (septembre ou octobre j'me souviens pas). Elle n'était pas venue à l'école pendant une semaine. Dans le passé, elle s'est fait frappée par sont père et a été agressée sexuellement à l'âge de huit ans. Je ne sais pas quoi faire. J'ai d'autres ami(e)s qui me font des confessions et ça commence à me peser sur le cœur et dans la tête à moi aussi. Je n'ai pas envie de leur dire, car je suis une des seules personnes sur qui ils peuvent compter. J'ai besoin d'aide.

Je comprends plus rien

sa je me questionne beaucoup part rapport à mon orientation sexuelle depuis 2 ans et je suis quasi sûr de préférer sortir avec des filles (je n’ai jamais essayé de sortir ni avec un garçon ni une fille) mais genre je sentais que j’aimais une de mes amies un peu plus que comme une amie et l’autre jour elle m’a appris qu’elle trippait sur un gars et je me suis juste mis à pleurer donc j’ai du lui expliquer pourquoi et elle a été full fine et je lui ai demandé d’en parler à personne à part sa demi sœur à qui elle dit tout donc pour l’instant il y a c’est deux là et une prof a l’école car le lendemain que j’ai révéler ma préférence à mon amie ont avait un cours sur l’orientation sexuelle et sur ce qu’est la sexualité en général donc j’ai fait une crise d’angoisse et j’ai quitté la classe avec la prof et il y a bien fallu que j’explique un peu ce qui allait pas bref j’ai encore beaucoup de misère à m’accepter et je crains le moment où j’aurais à faire mon coming out à mon entourage et j’ai peur que quelqu’un s’échappe et que je me fasse outé et que je me fasse niaiser pour le reste de l’année scolaire donc avez-vous des conseils pour que je sache un peu plus où je m’en vais